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  • Les plans de l’OTAN pour renforcer les défenses aériennes européennes – EURACTIV.fr

    Les plans de l’OTAN pour renforcer les défenses aériennes européennes – EURACTIV.fr

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    Les ministres de la défense de l’OTAN, réunis à Bruxelles, ont dévoilé jeudi (13 octobre) des plans visant à renforcer les défenses aériennes de l’Europe, alors que les missiles russes ont continué de frapper les villes et villages ukrainiens au cours des dernières 24 heures.

    L’Allemagne et plus d’une douzaine de partenaires de l’OTAN ont annoncé leur intention d’acquérir conjointement des systèmes de défense aérienne qui protègent le territoire allié contre d’éventuelles attaques de missiles.

    « Avec cette initiative, nous nous montrons à la hauteur de notre responsabilité commune en matière de sécurité en Europe, en regroupant nos ressources », a déclaré la ministre allemande de la Défense, Christine Lambrecht, lors d’une cérémonie au siège de l’OTAN à Bruxelles, au cours de laquelle 14 pays ont signé une lettre d’intention.

    L’initiative, baptisée « European Sky Shield (Bouclier aérien européen) », vise à protéger le territoire des pays alliés et concerne près de la moitié des membres de l’OTAN, à savoir l’Allemagne, la Grande-Bretagne, la Slovaquie, la Norvège, la Lettonie, l’Estonie, la Hongrie, la Bulgarie, la Belgique, la République tchèque, la Finlande, la Lituanie, les Pays-Bas, la Roumanie et la Slovénie.

    Les systèmes de défense aérienne concernés par l’acquisition conjointe sont le système israélien Arrow 3, le Patriot américain et les unités IRIS-T allemandes.

    « Nous travaillerons rapidement sur les premiers projets communs, l’achat conjoint d’unités Patriot en fait partie, ainsi que du système moderne IRIS-T », a déclaré Mme Lambrecht aux journalistes.

    Les systèmes de défense aérienne basés au sol tels que les unités Patriot de Raytheon ou les plus récents IRIS-T sont rares dans de nombreuses nations occidentales, qui ont hésité à investir trop d’argent dans les capacités militaires après la fin de la guerre froide.

    Si ces deux systèmes couvrent la couche moyenne de la défense aérienne, les pays discuteront également de l’acquisition de dispositifs pour la couche supérieure, comme l’Arrow 3 produit par Israel Aerospace Industries (IAI) (ISRAI.UL), et de systèmes à courte portée conçus pour protéger des zones plus restreintes ou des convois militaires.

    « Nous devons combler ces lacunes rapidement, nous vivons dans une époque menaçante et dangereuse », a déclaré Mme Lambrecht, qui a également signalé qu’elle préférerait acheter l’Arrow 3 pour la couche supérieure.

    La France et la Pologne ont toutefois refusé la proposition allemande de rejoindre le bouclier.

    Alors que Varsovie a déclaré qu’elle préférait mettre en place son propre système de défense aérienne, la France compte fortement sur l’effet dissuasif de son propre arsenal nucléaire plutôt que d’opter pour des dispositifs conventionnels de missiles antibalistiques.

    Avant la réunion des ministres de la Défense de l’OTAN, qui comprend des entretiens à huis clos avec son groupe de planification nucléaire, le ministre américain de la Défense, Lloyd Austin, a promis de défendre « chaque centimètre » du territoire des membres.

    Défense antimissile de l’Ukraine

    Parallèlement, les alliés de l’OTAN s’efforcent de fournir à l’Ukraine des systèmes de défense aérienne en nombre suffisant pour répondre aux exigences de Kiev, selon les responsables occidentaux.

    La guerre menée par la Russie en Ukraine a mis en lumière cette pénurie, alors que Kiev s’efforce d’acquérir le plus grand nombre possible d’unités de défense aérienne pour protéger les villes et les infrastructures critiques des attaques aériennes russes.

    Au cours des dernières 24 heures, les missiles russes ont frappé plus de 40 établissements, tandis que l’armée de l’air ukrainienne a effectué 32 frappes sur 25 cibles russes, selon l’état-major des forces armées ukrainiennes.

    L’Ukraine a également signalé un pic d’attaques russes avec les drones Shahed-136 au cours des dernières semaines. L’Iran nie avoir fourni les drones à la Russie, tandis que le Kremlin n’a fait aucun commentaire.

    Cette semaine, l’Allemagne a fourni le premier des quatre systèmes de défense aérienne IRIS-T à l’Ukraine, tandis que le président américain Joe Biden a promis de continuer à fournir une « défense aérienne avancée » à la suite de ses entretiens avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky en début de semaine.

    Des responsables de près de 50 pays se sont réunis à Bruxelles mercredi pour coordonner la manière de continuer à répondre au besoin de Kiev de protéger ses citoyens et ses troupes des attaques russes dans le cadre du Groupe de contact sur l’Ukraine.

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    https://www.euractiv.fr/section/politique/news/les-plans-de-lotan-pour-renforcer-les-defenses-aeriennes-europeennes/

  • Le Green Deal réserve des sorts distincts aux secteurs aérien et maritime – EURACTIV.fr

    Le Green Deal réserve des sorts distincts aux secteurs aérien et maritime – EURACTIV.fr

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    Alors que le nouveau Pacte Vert de l’UE s’intéressera de près aux avions, aux trains et aux véhicules, la Commission européenne a déjà prévu de s’atteler à l’assainissement de l’industrie des transports.

    Le transport routier éclipse les autres moyens de transport au niveau de ses émissions de gaz à effet de serre. L’Agence européenne de l’environnement a calculé qu’en 2016, les routes européennes étaient responsables de 72,1 % de l’ensemble des rejets de CO2 du secteur.

    Le règlement négocié par la Commission de Jean-Claude Juncker sur la réduction des rejets de CO2 des voitures, des camions et des bus entrera en vigueur au début de la prochaine décennie. La mise en place d’autres mesures sur les véhicules et les combustibles propres ainsi que la production de batterie devraient également être accélérée.

    Ces règles présentent toutefois certaines lacunes et se sont aussi attirées plusieurs critiques. Lors d’un évènement d’Euractiv sur la mobilité verte, Herald Ruijters, chargé des investissements, des transports innovants et durables à la Direction générale de la mobilité et des transports (DG MOVE) de la Commission européenne, a déclaré que certains pans de cette réglementation ne seraient pas adoptés à temps par les États membres.

    « La Commission européenne émet des propositions claires qui n’atteignent finalement pas le niveau d’engagement que nous souhaiterions en matière de codécision », a ajouté M. Ruijters.

    Cela n’a pas empêché les États membres de l’UE à s’atteler à la tâche. Nombre d’entre eux ont en effet décidé de d’adopter des approches différentes afin d’atteindre les objectifs climatiques et énergétiques prévus ou fixés.

    Neuf pays, par exemple, ont changé leur type de carburant passant de la norme E5 à E10, ce qui signifie que l’essence ne peut plus contenir que 10 % d’éthanol au maximum. Aux yeux des groupes industriels, cette disposition réduit les émissions de CO2 et est compatible avec la plupart des modèles automobiles.

    D’autres États membres misent beaucoup sur l’électrification. La chancelière allemande, Angela Merkel, s’est ainsi engagée à créer 1 million de bornes électriques d’ici à 2030 à travers le pays, alors que de grands constructeurs automobiles axent désormais leur production sur les véhicules électriques.

    Selon une récente étude menée par Bloomberg New Energy Finance, les travaux d’électrification deviendront moins chers d’ici à 2023, car le coût par kilowattheure devrait chuter à 100 dollars, un prix qui sera à la portée des propulseurs traditionnels.

    « La mobilité électrique est cruciale, mais c’est l’ensemble de la chaîne qui doit devenir durable, et ce, en utilisant des sources énergétiques renouvelables. Les voitures électriques résoudront en partie le problème — notamment les petites voitures et celles urbaines — mais n’oubliez pas toute l’infrastructure dont nous avons besoin », a expliqué Giacomo Rispoli, de la société énergétique, Eni.

    Green Deal en vue

    Néanmoins, les secteurs aérien et  maritime internationaux restent un sujet épineux pour les législateurs. Leurs taux d’émissions de CO2 au sein de l’UE est similaire, 13,3 % et 13,6 %, mais ces pourcentages devraient augmenter d’année en année.

    Dans un premier projet du futur Green Deal, l’une des propositions principales inclut le transport maritime international dans le système d’échange de quotas d’émissions (ETS), une idée qui avait déjà été confirmée lors de l’audition de la commissaire aux Transports, Adina-Ioana Vălean, au Parlement européen.

    Interrogé pour savoir si l’idée tenait réellement la route, M. Ruijters a répondu que « la Commissaire Vălean était très claire lors de son audition sur l’inclusion du maritime dans l’ETS. Elle a toutefois souligné que le secteur relevait du domaine international et que nous devrions donc être prudents dans nos actions. »

    « Il faut aborder la question liée aux fuites de carbone. Nous pourrions nous trouver dans une situation où le soutage [des combustibles] aurait lieu de l’autre côté de la Méditerranée ou dans d’autres pays tiers », a-t-il ajouté, se référant au Royaume-Uni au cas où le Brexit se concrétiserait.

    « Nous œuvrerons très certainement dans le domaine de l’ETS mais ce n’est pas assez. D’autres solutions sont de mises pour éliminer la dépendance maritime aux combustibles carbone. Si le GNL (Gaz Naturel Liquéfié) était mis à disposition, nous devrions nous assurer que les investissements nous permettent d’envisager le bio-GNL. »

    L’eurodéputée allemande Jutta Paulus a déclaré que le Parlement préparait actuellement le terrain et que le secteur maritime pourrait être inclus dans l’ETS dès l’année prochaine.

    Laura Buffet, membre de l’ONG environnementale Transport & Environnement (T&E), a affirmé lors de l’évènement que le transport maritime devait être inclus dans les ETS, car « les mesures internationales ne donnent pas de résultats  ».

    L’Organisation maritime internationale (OMI) réglemente ce secteur et Mme Vălean a été chargée, par Ursula von der Leyen, de mener les négociations européennes au niveau de l’institution des Nations unies. Les représentants de l’industrie maritime ont tout de même tenté de diriger les discussions vers la taxation du carbone et non sa tarification.

    De nouvelles règles sur l’utilisation de carburants ayant une faible teneur en soufre devraient entrer en application en janvier 2020, mais l’engagement de l’OMI visant à décarboner considérablement le secteur d’ici à 2050 ne présente pas encore de véritable feuille de route.

    Heure de décollage

    L’impact de l’ETS ne devrait pas être si grand dans d’autres secteurs. Même si le brouillon du « Pacte vert » de l’UE stipule que l’exécutif européen « évaluera la possibilité » d’inclure le transport routier dans le marché du carbone, il semble peu probable que l’idée décolle.

    « Nous devons différencier les secteurs aérien, maritime et routier lorsque nous nous parlons du système d’échange de quotas d’émissions, car nous savons que le prix du carbone ne sera pas suffisant pour changer la donne dans les transports routiers », a indiqué Mme Buffet.

    Les personnes défavorisées seraient aussi les plus touchées par l’inclusion du secteur routier dans l’ETS, ce qui rend la proposition difficile à vendre ou peu convaincante au niveau politique. L’ONG T&E soutient en outre que cette disposition ne serait de toute façon pas très efficace pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

    Adina-Ioana Vălean est, quant à elle, restée évasive sur les mesures qui concerneront le secteur aérien et le Green Deal ne mentionne que la baisse du nombre de permis carbone gratuits octroyés au secteur.

    Les vols intraeuropéens sont déjà inclus dans l’ETS, mais il parait peu probable que les trajets internationaux le soient aussi, étant donné l’engagement de l’UE à CORSIA, la stratégie d’atténuation des émissions pour l’industrie aérienne mondiale.

    Le prochain paquet environnemental ne fait pas non plus mention d’une taxe sur les carburants, même si le 5 décembre les ministres européens des Finances devaient se mettre d’accord sur leurs priorités concernant la refonte de la directive sur la fiscalité de l’énergie.

    Neuf États membres ont appelé la Commission, en novembre, à taxer davantage l’aviation pour s’aligner sur les obligations climatiques du bloc encadrées par l’Accord de Paris sur le climat et certains ont même menacé de taxer le carburant bilatéralement, si aucune mesure n’était prise à l’échelle européenne.

    D’autres solutions pour endiguer l’empreinte carbone du secteur aérien sont également en préparation. Étant donné que l’électricité, en tant que source énergétique, n’est pas considérée comme suffisante, Giacomo Rispoli a déclaré que « les biocarburants peuvent être une option envisageable, car les avions ont besoin une forte densité d’énergie provenant de leurs carburants. Cette densité ne peut que provenir d’un carburant liquide. »

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    https://www.euractiv.fr/section/climat/news/aviation-and-shipping-set-to-face-differing-fortunes-under-eu-green-deal/

  • Bruxelles lance un ballon d’essai sur son « Green deal » européen – EURACTIV.fr

    Bruxelles lance un ballon d’essai sur son « Green deal » européen – EURACTIV.fr

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    La nouvelle Commission européenne prépare une série de nouvelles lois sur le climat et l’environnement dans le cadre d’un Green Deal européen qui doit être dévoilé le 11 décembre, mais dont les grandes lignes ont déjà été envoyées aux pays de l’UE pour avis.

    Le projet de Green deal européen présente « un ensemble de politiques profondément transformatrices » que la nouvelle Commission entend proposer pour lutter contre le changement climatique.

    Selon un résumé du premier projet de proposition remis aux représentations nationales des pays de l’UE à Bruxelles, qu’Euractiv a obtenu, l’objectif de parvenir à la neutralité climatique figure en première place. Une « loi européenne sur le climat consacrant l’objectif de neutralité climatique 2050 » sera proposée « d’ici à mars 2020 », indique le document.

    Et d’ici à octobre 2020, la Commission « présentera un plan global » pour que l’UE se fixe des objectifs plus ambitieux en matière de « réduction des émissions de gaz à effet de serre pour 2030 à au moins 50 % et tendant vers 55 % ».

    Un « serment vert »

    Plus bas, la Commission promet d’« intégrer la durabilité » dans toutes les politiques, en prêtant « un serment vert : “ne pas faire de mal”. Dans la pratique, Bruxelles s’efforcera d’éliminer “les législations incohérentes qui réduisent l’efficacité de la mise en œuvre du Green deal” ».

    Cela inclut les aspects financiers avec une proposition visant à « examiner et comparer les pratiques de budgétisation verte » tant au niveau de l’UE qu’au niveau national. Un « plan d’action sur le financement vert » sera présenté en juin 2020 à cet égard. Une révision des « lignes directrices concernant les aides d’État dans les secteurs de l’environnement et de l’énergie » est également à l’ordre du jour.

    D’autres mesures très attendues sont indiquées, telles qu’une proposition de révision de la directive sur la taxation de l’énergie en vue de l’aligner sur les ambitions climatiques de l’Europe. Et alors que la Commission veut « poursuivre ses efforts » pour supprimer la règle de l’unanimité en matière fiscale, il n’est pas fait mention de la taxe frontalière sur le carbone destinée à protéger les industries comme la sidérurgie contre les importations chinoises qui cassent les prix.

    Secteur maritime et aérien

    Sous le titre « Mobilité zéro émission », la Commission prévoit d’étendre au secteur maritime le système communautaire de plafonnement et d’échange de quotas d’émission de carbone, ainsi que de réduire le montant des crédits de pollution gratuits attribués aux compagnies aériennes.

    En outre, Bruxelles « évaluera la possibilité d’inclure les émissions du transport routier » dans ce système, une proposition à laquelle s’opposent depuis longtemps les groupes de défense de l’environnement. Elle prévoit aussi de « retirer et de soumettre à nouveau » des propositions sur la directive concernant l’Eurovignette. Celle-ci vise à taxer les poids lourds qui circulent sur les routes européennes, mais la proposition actuelle est bloquée au niveau du Conseil des ministres.

    Dans le cadre de rubrique consacrée à la préservation des écosystèmes et de la biodiversité, la Commission propose de « passer en revue l’ensemble de la législation existante concernant l’agriculture et la sylviculture afin de s’assurer qu’elle est conforme aux nouvelles ambitions en matière de climat et de biodiversité ».

    À propos de la stratégie « de la ferme à la table », l’exécutif européen entend mettre en place « une boîte à outils pour les alternatives aux pesticides » et réformer les règles d’information alimentaire dans l’intérêt des consommateurs.

    Enfin, la Commission entend réviser la législation sur l’air, l’eau et les produits chimiques en vue d’« éliminer toutes les sources de pollution ».

    « Pas à la hauteur de la tâche » selon Greenpeace

    Bien que les défenseurs de l’environnement aient généralement salué le « vaste programme politique » présenté par la Commission, ils déplorent que les propositions ne soient « pas à la hauteur de la tâche ».

    « La proposition de l’UE de porter les objectifs [de réduction des émissions de carbone] à 50 % ou 55 % n’est pas conforme à l’Accord de Paris et à son objectif de limiter le réchauffement mondial à moins de 2°C, et même de le maintenir autant que possible aux environs de 1,5°C » a déclaré Franziska Achterberg de Greenpeace.

    Avec d’autres organisations environnementales, Greenpeace réclame une réduction d’au moins 65 % d’ici à 2030, par rapport à 1990.

    En outre, les militants affirment qu’en octobre 2020, il sera trop tard pour proposer un nouvel objectif climatique pour 2030. « Les dirigeants de l’UE ne se mettront d’accord sur un nouvel objectif pour 2030 qu’après une étude d’impact, ce qui ne laissera pas suffisamment de temps à l’UE pour présenter une nouvelle proposition d’ici à la COP26 de Glasgow en novembre 2020, comme l’exige l’Accord de Paris », souligne Franziska Achterberg dans un communiqué.

    Les membres de Greenpeace ont également été déçus par les « politiques mal conçues » de la Commission en matière de transport, relevant qu’il n’était pas fait mention d’une taxe sur le kérosène pour lutter contre les émissions du transport aérien. Quant aux propositions sur la politique agricole, elles manquent de mesures de lutte contre « la surconsommation de viande et de produits laitiers, l’impact des fermes industrielles ou l’utilisation excessive d’engrais artificiels », estime l’ONG.

    Les politiques d’assainissement de l’air et de l’eau ont également été jugées insuffisantes pour lutter contre la pollution à la source. Nous savons d’où vient le problème, relève Franziska Achterberg, il provient notamment « des effluents toxiques de l’agriculture industrielle qui se retrouvent dans les rivières et les nappes phréatiques ».

    En ce qui concerne le commerce, Greenpeace a indiqué que l’inclusion d’un chapitre sur le développement durable dans les accords commerciaux n’avait rien de nouveau. « L’accord avec le Mercosur et le CETA ont tous deux un chapitre sur le développement durable. Le problème, c’est que le contenu n’est pas juridiquement contraignant », conclut Franziska Achterberg.

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    https://www.euractiv.fr/section/climat/news/leaked-brussels-draft-proposal-for-a-european-green-deal/