Quelles ont été et quelles sont les actions de lobbying menées par les industriels, associations, et institutions concernant l’obsolescence programmée ? Pour quels résultats et avec quelles perspectives ?
Initialement perçue comme un moyen de favoriser la croissance économique et la productivité, l’obsolescence programmée tend aujourd’hui à être dénoncée comme préjudiciable sur le plan écologique (accumulation des déchets, surproduction) et humains (aliénation aux objets et à la société de consommation).
Aujourd’hui encore, l’obsolescence programmée fait l’objet de débats entre ceux qui estiment qu’elle est la conséquence logique de l’innovation et du progrès technique et les associations de consommateurs et de protection de l’environnement.
Une analyse proposée par une équipe d’étudiants du MS DAIM de l’ESSEC Business School promotion 2016/2017 : Jordan Grandidier, Maryll Pizzetta, Simon Quinol-Heraud, Charles Smith, Paul Sturbois, Sylvia Sisombat, Jean-Michel Tu.
Exposé disponible dans son intégralité : Obsolescence programmee – MS DAIM ESSEC