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  • Elargissement- relance d’une dynamique autrement …pour la PAIX

    Elargissement- relance d’une dynamique autrement …pour la PAIX

    Grain de sel VDB : Comment lier respect de l’acquis communautaire notamment en matière d’Etat de droit et les negotiations d’ #adhésion.

    Revue Etat par Etat candidat pour toucher du doigt les problèmes spécifiques de chacun…Un effort louable mais pour certains sont la #Turquie est il encore temps ?

  • Thierry Breton définitivement nommé commissaire au marché intérieur – EURACTIV.fr

    Thierry Breton définitivement nommé commissaire au marché intérieur – EURACTIV.fr

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    Le candidat français a convaincu plus des deux tiers des eurodéputés qui l’auditionnaient. Les Verts et la gauche radicale sont les seuls à avoir manifesté un réel scepticisme.

    Comme Sylvie Goulard avant lui, le candidat français au poste du marché intérieur au sein de la Commission européenne a passé un examen de trois heures, durant lequel une centaine de membres de deux commissions parlementaires l’ont mis sur le gril.

    Il est toutefois parti avec un avantage sérieux par rapport à la candidate malheureuse Sylvie Goulard: le principal groupe politique, le PPE, dont il fut membre dans le passé, l’a d’emblée soutenu.

    À l’inverse, la famille PPE avait dès le départ l’intention de « tuer » la candidate Renew, en représailles contre Emmanuel Macron. Personne ne lui a non plus reproché « de ne pas avoir les épaules assez larges pour le poste »,  alors que le périmètre du portefeuille est resté exactement le même, et que Thierry Breton affiche une expérience moindre que Sylvie Goulard.

    L’audition a néanmoins été marquée par des critiques assez acerbes des élus de gauche, des sociaux-démocrates allemands à la gauche radicale française en passant par les Verts. Les principales inquiétudes des élus européens ont porté sur la longue carrière dans le privé du candidat, susceptible de créer une multitude de conflits d’intérêts selon eux.

    Un sujet sur lequel  Thierry Breton a dit avoir pris des décisions « radicales », en cédant toutes ses actions qu’il détenait notamment chez Atos et en démissionnant de tous ses mandats y compris associatifs.

    Il a en revanche assuré qu’il ne se mettrait pas en retrait des secteurs sur lesquels sa précédente société, Atos, se concentre. « Je ne me déporterai pas, arrêtez de dire cela » a-t-il insisté en réponse à Manuel Bompard, eurodéputé France Insoumise. Il a en revanche accepté l’idée qu’un observateur soit présent à chaque fois qu’il rencontrait le représentant d’une de ses anciennes entreprises.

    Le candidat a reçu le soutien appuyé de la droite et de la délégation Renew, qui a estimé sa prestation de qualité.

    Sur le fond, le candidat a largement insisté sur la technologie et le numérique, des questions qui lui sont visiblement chères, plus que sur la défense par exemple, alors qu’il a écrit un livre blanc sur la création d’un fonds de défense européen, et qu’il sera en charge de mettre en place une nouvelle DG, sur le spatial et la défense.

    Le candidat a aussi insisté sur sa vision de la concurrence : il estime que les règles doivent être modifiées, notamment la notion de  « marché pertinent » utilisé pour examiner le périmètre de concurrence sur lequel évolue un acteur. « La réglementation a 25 ans, alors que la plate-forme existe depuis 15 ans » a souligné le commissaire, qui s’est aussi posé comme un ardent défenseur de l’exception culturelle française, alors que son portefeuille couvre une partie du sujet.

    Léger sur la transition énergétique

    Pour tenter de séduire le groupe des sociaux-démocrates, dont certains s’interrogeaient sur la pertinence de sa candidature, il a aussi insisté sur l’importance de la compensation, par des fonds de compensation, des coûts de la transition énergétique, et évoqué la taxe carbone aux frontières.

    Le candidat s’est montré toutefois léger sur tous les enjeux environnementaux ou climatiques, se bornant à citer le fait qu’une industrie a besoin de 25 ans pour se transformer, et qu’il faut donc prendre des décisions rapides.

    La gauche radicale et l’extrême-droite ont demandé des questions supplémentaires, les Verts ont fait part d’interrogations. Ils se sont retrouvés en minorité face au bloc des groupes ECR, PPE, S&D et Renew, qui ont fini par soutenir la candidature du Français.

    Le nouveau collège des commissaires doit désormais être approuvé par le Parlement européen lors d’un vote qui aura lieu lors de la dernière session de novembre, probablement le 27 novembre.

    La candidature de Thierry Breton, nouveau coup de poker pour Macron ?

    Les potentiels conflits d’intérêts du nouveau candidat choisi par Macron pour siéger à Bruxelles font planer la menace d’un nouveau rejet par les parlementaires européens.

    Le plan B est risqué. Emmanuel Macron a désigné Thierry Breton comme nouveau candidat de la …

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    https://www.euractiv.fr/section/monde/news/thierry-breton-definitivement-nomme-commissaire-au-marche-interieur/

  • Une audition sans grand suspens pour Thierry Breton – EURACTIV.fr

    Une audition sans grand suspens pour Thierry Breton – EURACTIV.fr

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    Second candidat de la France, l’ex-PDG d’Atos est entendu par le Parlement européen. Cette fois, la France s’est assuré du soutien des principaux groupes.

    Donner des gages à la droite suffit-il pour faire passer une candidature de commissaire ?

    C’est la question à laquelle le Parlement européen répondra aujourd’hui. Et l’audition de Thierry Breton qui se déroule à partir de 13h ce 14 novembre, a tendance à crisper légèrement à Paris, où l’on estime que  la question des conflits d’intérêt a été sérieusement examinée et que le candidat âgé de 64 ans devrait passer « si les élus sont de bonne foi ».

    Renew, PPE et S&D soutiennent le candidat

    La France a mis toutes les chances de son côté, en proposant un candidat compatible avec le PPE. Et de fait, en choisissant un membre du RPR, ex Les Républicains, Paris fait de l’œil au parti de droite qui avait promis de « tuer » sa précédente candidate Sylvie Goulard lors d’un échange de messages Watsapp malencontreusement devenu public.

    A gauche, les sociaux-démocrates ont profité de cette situation potentiellement tendue pour faire passer leurs revendications : la Commission européenne a annoncé ce matin avoir revu les titres de certains commissaires qui faisaient débat, et surtout celui de Margaritis Schinas, qui devenu commissaire à la « protection du mode de vie européen », et non pas à la défense du même mode de vie. Une petite victoire obtenue grâce au vote tendu de la commission JURI, le 12 novembre.

    Avec le soutien de Renew, de la droite et du groupe S&D, tous passablement lassés de cette épisode qui bloque le fonctionnement des institutions, le candidat ne doit plus qu’affronter les critiques de la gauche radicale, des Verts et de l’extrême-droite, qui ne manqueront pas de s’exprimer demain durant les trois heures d’audition prévues.

    Dans ses réponses écrites aux parlementaires, le commissaire a peu dévoilé son programme, mais insisté sur son intégrité. Notamment sur le fait qu’il n’a plus ni action ni aucun mandat d’aucune sorte auprès d’associations ou de sociétés.

    Thierry Breton fait campagne pour être le commissaire français

    La France a promis de présenter un ou une candidat(e) à la Commission européenne rapidement. L’hypothèse Thierry Breton serait envisagée.

    Le prochain commissaire français ne sera sans doute pas une femme, si l’on en croit les dernières rumeurs parisiennes. En plus …

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    https://www.euractiv.fr/section/elections/news/une-audition-sans-grand-suspens-pour-thierry-breton/

  • Commission européenne. Adina Valean sera la candidate roumaine et aura les Transports – Ouest France

    Commission européenne. Adina Valean sera la candidate roumaine et aura les Transports – Ouest France

    https://www.ouest-france.fr/europe/ue/commission-europeenne-adina-valean-sera-la-candidate-commissaire-roumaine-et-aura-les-transports-6597545

    On connaît depuis ce mercredi 6 novembre la représentante roumaine au sein de la nouvelle commission européenne d’Ursula von der Leyen. Il s’agit d’Adina Valean. Elle héritera du portefeuille des Transports au sein de l’institution.

    La prochaine commissaire européenne roumaine serait la députée européenne Adina Valean, ont indiqué plusieurs sources à notre partenaire d’Euractiv.com, ce mercredi. Information confirmée par le porte-parole du gouvernement roumain.

    Le nouvel exécutif de centre droit de Ludovic Orban avait présenté deux candidats, les eurodéputés Adina Valean et Siegfried Muresan. Les deux siègent au sein du Parti populaire européen (conservateurs, avec Les Républicains) et ont été élus en 2019 sur des listes du Partidul National Liberal.

    Selon Euractiv, la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a insisté sur la nécessité d’un équilibre femmes – hommes le plus proche de la parité au sein du collège de commissaires. Le gouvernement roumain avait tout de même plaidé jusque-là en faveur de Siegfried Muresan.

    Sur le gril du Parlement le 14 novembre

    Adina Valean héritera du portefeuille dédié au Transports. La candidate roumaine précédente avait été promise à celui des Transports, avant d’être écartée par le Parlement européen. Avant même leur oral de confirmation, la sociale-démocrate roumaine Rovana Plumb (Transports) avait été jugée « inapte » par les eurodéputés en raison de conflits d’intérêts présumés. Le Hongrois Laszlo Trocsanyi (PPE, droite) qui devait récupérer le Voisinage et l’Élargissement avait connu le même sort.

    La candidature d’Adina Valean sera soumise le 14 novembre au Parlement européen, dont l’approbation est nécessaire.

    Il faut aussi un commissaire britannique

    Par ailleurs, la future présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a écrit au Premier ministre britannique Boris Johnson pour lui demander de présenter un candidat à un poste de commissaire, a annoncé ce mercredi une porte-parole.

    Ursula von der Leyen, qui espère voir son équipe complète entrer en fonction au 1er décembre, « invite M. Johnson à proposer un ou des noms » et l’encourage à présenter des femmes, a indiqué cette porte-parole.

  • Après un refus inédit pour la France, Macron tente la « carte Thierry Breton » pour la Commission européenne – La suite ?

    Après un refus inédit pour la France, Macron tente la « carte Thierry Breton » pour la Commission européenne – La suite ?

    Alors que l’avenir de Sylvie Goulard au sein de la Commission présidée par Ursula von der Leyen semblait tracé, le 10 octobre, le choc est de taille. La candidature au poste de commissaire européen est rejetée massivement par le Parlement européen lors de la seconde audition (82 contre et 29 pour). Il a manifestement décidé de redistribuer les cartes.

    Pour rappel : chaque Etat membre désigne un.e commissaire pour siéger à la Commission européenne pendant la mandature de 5 ans.  Sylvie Goulard nommée par le président Macron est la troisième à faire cette fois ci l’objet d’un refus de la part des députés européens, après le conservateur hongrois Laszlo Trocsanyi (PPE) et la socialiste roumaine Rovana Plumb. Des révélations sur de possibles emplois fictifs au sein du Modem viendraient compromettre l’intégrité de l’ancienne ministre.

    Emmanuel Macron voit dans ce revers, l’empreinte de la droite européenne du PPE qui aurait comploté contre lui pour se venger d’avoir bloqué l’accès de son chef de file à la tête de la Commission en juin dernier. (No comment)

    Et le temps presse, la nouvelle Commission doit prendre ses fonctions au 1er décembre et le poste de commissaire européen décerné à la France demeure vacant. Ce rejet inédit résonne comme une claque pour le président de la République, malgré sa colère, « échec et mat » ne semble pas exister dans son vocabulaire. Il s’agit de trouver rapidement un remplaçant à Sylvie Goulard.

    Depuis le rejet de la candidature de celle qu’il voyait représenter le drapeau tricolore à Bruxelles, Emmanuel Macron a multiplié les consultations et s’est entretenu avec la présidente de la Commission afin de désigner un candidat aux épaules solides pour diriger un portefeuille très important celui du « marché intérieur », pilier de l’Union européenne.

    Plusieurs noms de candidats potentiels ont été évoqués : Ségolène Royal, Bruno Le Maire ou encore celui du négociateur en chef de l’UE pour le Brexit, Michel Barnier avec lequel le président Emmanuel Macron aurait très certainement joué la carte de la sécurité auprès du Parlement européen.

    Faisant fi de l’objectif paritaire de la Commission européenne, le président de la République se devait de proposer un profil concordant avec les critères posés par le traité de Lisbonne, à savoir un candidat choisi en raison de ses compétences indéniables, son engagement européen et « offrant toutes garanties d’indépendance ».

    C’est Thierry Breton, ancien ministre de Jacques Chirac et actuel président d’Atos, qui a été désigné par Emmanuel Macron, il y a quelques jours. Cette figure est familière à la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, puisqu’elle a déjà eu l’opportunité de travailler avec Thierry Breton sur la création d’un Fonds européen de défense et de sécurité alors qu’elle occupait le poste de ministre de la Défense allemande.

    Cependant, les polémiques vont déjà bon train, menaçant sa nomination. Thierry Breton a fait l’objet de plusieurs plaintes, et serait au cœur d’enquêtes pour « favoritisme » et « prise illégale d’intérêt » impliquant la société Atos. Evidemment, il dénonce ces accusations et nie le moindre conflit d’intérêt . Espérons que la candidature de Thierry Breton aboutisse, et que la France ne soit pas confrontée à une seconde déconvenue qui entame son crédit à Bruxelles, alors même que l’un des atouts de notre Président est sans nul doute sa posture pro-européenne et son aisance en ces milieux. Mais le risque est pris c’est certain !

    En dct joint le projet de Commission propose par la présidente Ursula von der Leyen… Après le rejet de certains noms par le Parlement – C’est à suivre sur https://www.touteleurope.eu/actualite/qui-sont-les-futurs-commissaires-europeens.html

  • Qui sont les candidats à la présidence de la Commission européenne ?

    Qui sont les candidats à la présidence de la Commission européenne ?

    15.02.2019 Steven Kakon

     

    Et quand on dit que la commission n’est pas un executif alors que desormais il est l’émanation de la majorite élue au PE?

    A l’issue des élections européennes de mai 2019, le nouveau président de la Commission sera désigné. 

    Les partis européens désignent leurs « têtes de liste ». 

     

    5 partis politiques européens ont désigné leur tête de liste, ou « Spitzenkandidat« . Ces visages incarneront leur campagne jusqu’au 26 mai. 

    Les chefs d’Etat et de gouvernement devront s’entendre sur un candidat, en vertu des traité. S’ils suivent le système du « Spitzenkandidat » lancé en 2014 (ce à quoi certains Etats ne semblent pas  favorables), ils désigneront alors  la tête de liste du parti qui a obtenu le plus de députés européens à l’issue des élections de mai.

    Quelque soit leur choix, le Parlement européen validera ou non l’équipe (le « collège ») qui composera la Commission européenne pour les cinq ans à venir. Si le choix des Etats ne satisfait pas les nouveaux députés européens, ils pourront  le retoquer.

    Comment est « élu » le président de la Commission européenne ?

    Qui sont ces têtes de liste ? 

    Manfred Weber : Parti populaire européen (PPE)

    Manfred Weber - Crédits : Wikimedia CommonsHomme politique allemand né en 1972 , membre de l’Union chrétienne-sociale (CSU) bavaroise, Manfred Weber est titulaire d’un diplôme d’ingéniérie physique de l’université des sciences appliquées de Munich.

    Disciple de la chancelière Angela Merkel, député au parlement régional de Bavière en 2002. Elu en 2004 au Parlement européen, réélu en 2009 et en 2014, il participe à la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures puis à la commission des affaires constitutionnelles. Président du groupe PPE depuis 2014, il est élu à 79%  en novembre 2018 comme  tête de liste pour les élections européennes. Conciliant« , il maitrise mal les langues étrangères.  « Pressenti pour la présidence de la Commission européenne« .

    LIRE  : [Revue de presse] Le conservateur allemand Manfred Weber élu chef de file de la droite européenne

     

    Frans Timmermans : Parti socialiste européen (PSE, affilié au groupe S&D)

    Frans Timmermans - Crédits : FlickrNéerlandais Frans Timmermans, homme politique et diplomate membre du parti Travailliste, né le 6 mai 1961 à Maastricht. Titulaire d’un diplôme en langue française et littérature. Plusieurs fois député de la Seconde chambre du Parlement néerlandais, ministre des Affaires européennes de 2007 à 2010 et des Affaires étrangères de 2012 à 2014. Polyglotte est premier vice-président de la Commission européenne, en charge de l’Amélioration de la réglementation, des Relations interinstitutionnelles, de l’État de droit et de la Charte des droits fondamentaux.

    De centre-gauche, « connu pour ses idéaux sociaux-démocratiques, y compris en politiques sociales« .

    Ska Keller et Bas Eickhout : Parti vert européen (affilié au groupe Verts/ALE)

    Par souci de parité, deux chefs de file pour les élections européennes, élus le 24 novembre 2018.

    Ska Keller - Crédits : FlickrSka Keller, née le 22 novembre 1981, écologiste allemande.  A 27 ans,  élue en 2009, faisant sa spécialité des questions migratoires, ainsi que des questions commerciales et de la jeunesse. Réélue en 2014 et  vice-présidente du groupe parlementaire européen des Verts/ALE, elle met l’Europe sociale au cœur de son projet.

    Bas Eickhout - Crédits : TwitterBas Eickhout,  néerlandais membre de la Gauche verte, a étudié les Sciences environnementales.Jusqu’en 2000, chercheur à l’Agence d’évaluation environnementale des Pays-Bas (PBL). Député européen depuis 2009. Membre de la commission parlementaire de l’environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire, il siège  à la Délégation pour les relations avec les Etats-Unis.

    Jan Zahradil – Alliance des conservateurs et réformistes européens (ACRE, affiliée au groupe CRE)

    Jan Zahradil - Crédits : Parlement européenLe tchèque Jan Zahradil est né le 20 mars 1963.  Etudes de génie chimique et chercheur. Elu à l’Assemblée de la République fédérale tchèque et slovaque en 1992, son mandat s’achève au moment de la dissolution de la Tchécoslovaquie. C’est en 1998 qu’il reprend son activité de parlementaire. Elu au Parlement européen depuis 2004, il rejoint en 2009, Občanská demokratická strana, le groupe des Conservateurs et réformistes européens. Vice-président de la commission parlementaire du commerce international depuis 2009, membre de la Délégation à la commission mixte UE-Turquie.Le 14 novembre 2018, choisi comme Spitzenkandidat.

    Violeta Tomič et Nico Cué – Parti de la gauche européenne (affilié au groupe GUE/NGL)

    La gauche radicale a choisi de nommer deux candidats.

    Violeta Tomič - Crédits : FacebookVioleta Tomič, 56 ans, est comédienne et eurodéputée Membre de la Commission sur l’égalité et la non-discrimination du Conseil de l’Europe. Membre du Parlement slovène depuis 2014 et vice-coordinatrice du parti national Levica. En 2014, elle participe sans succès, aux élections européennes, à la tête d’une alliance slovène de partis de gauche. Le parti la désigne, en janvier 2019, Spitzenkandidat avec Nico Cué.

    Nico Cué - Crédits : Party of the European LeftNico Cué, Belge et  figure du mouvement syndical wallon et international. 

     

     

    L’Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe (ADLE)  a le projet de désigner une équipe.

    Matteo Salvini a montré un intérêt pour mener la liste du Mouvement pour l’Europe des nations et des libertés (MENL), affiliée au groupe ENL.

    L’Alliance Libre Européenne (ALE), qui siège au sein de deux groupes au Parlement européen (Verts/ALE et ECR), désignera son candidat  le 7 mars 2019. Le leader catalan Oriol Junqueras est pressenti.

    Le Mouvement politique chrétien européen (ECPM), qui siège au sein du groupe ECR au Parlement européen, pourrait nommer le néerlandais Gert-Jan Segers.

    Le Parti démocrate européen (PDE), qui siège au sein du groupe ADLE, n’a pas fait savoir s’il désignerait une tête de liste.

    Les partis Printemps européen et Volt Europa souhaitent présenter des têtes de liste mais ne sont pas reconnus par l’Union européenne comme des partis transnationaux. L’ancien ministre grec des Finances Yanis Varoufakis pourrait devenir le candidat du premier, tandis que le candidat du second sera déterminé fin mars 2019.


    https://www.touteleurope.eu/actualite/qui-sont-les-candidats-a-la-presidence-de-la-commission-europeenne.html